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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 17:35
C'est le jour que le Seigneur a fait ; passons-le dans les transports de la joie

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Le Seigneur est véritablement ressuscité, Alleluia !

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 17:06
Adoration de la Croix

Voici le bois de la croix
Venez, adorons-le


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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 16:59

Le Christ s'est fait obéissant pour nous jusqu'à la mort, et à la mort de la Croix. (Graduel)

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Le Reposoir

Adorons prosternés un si grand Sacrement ; que les rites antiques cèdent la place à ce nouveau mystère ; et que la foi supplée à la faiblesse de nos sens.
(Hymne du Saint-Sacrement)


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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 11:38
Bénédiction des Rameaux et Messe
Eglise Saint Martin de Coligny P1000640


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Dimanche des Rameaux 2009
Eglise de Villemotier


Procession

 "Tressaille d'allégresse, fille de Sion ; livre-toi aux transports de la joie, fille de Jérusalem : voici ton Roi qui vient vers toi ; il est le Juste et le Sauveur. Il est pauvre, et il s'avance monté sur l'ânesse et sur le petit de l'ânesse."
Zachar. IX, 9


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Messe
 

Faites, nous vous en supplions, Seigneur, que cette offrande, présentée aux regards de votre divine Majesté, nous obtienne la grâce de la dévotion, et nous ménage la possession de l'éternité bienheureuse.
Secrète

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 10:40


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    L’Eglise, vers la moitié du Carême, tempère la discipline de celui-ci en introduisant un avant-goût de la joie pascale. Cette pointe de blanc dans le violet de la pénitence induit l’usage en ce jour des ornements liturgiques roses, souvenir également de la rose d’or que le pape bénissait ce dimanche et qu’il offrait en présent à une princesse catholique.

 

Laetare 2010
Paroisse  Saint Eugène-Sainte Cécile à Paris 9ème

Introït du jour qui a donné son nom au dimanche :

LÆTARE  Jerusalem : et convéntum fácite, omnes qui dilígitis eam : gaudéte cum lætítia, qui in tristítia fuístis : ut exsultétis, et satiémini ab ubéribus consolatiónis vestræ.

– Ps. Lætátus sum in his, quæ dicta sunt mihi :  in domum Dómini íbimus.
Réjouis-toi, Jérusalem, et rassemblez-vous, vous tous qui l’aimez ; tressaillez de joie, vous qui étiez dans la tristesse : exultez, et rassasiez-vous aux sources de votre consolation.

– Ps. Je me suis réjoui de ce qu’on m’a dit : Nous allons vers la maison du Seigneur.

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Graduel du jour :
Lætatus sum  in his, quæ dicta sunt mihi : in domum Dómini íbimus.

– V/. Fiat pax in virtúte tua : et abundántia in túrribus tuis.
Je me suis réjoui de ce qu’on m’a dit : Nous allons vers la maison du Seigneur.

– V/. Que la paix règne en tes murs, et l’abondance en tes tours.

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Noë, Etienne, Eloi et Evariste                  

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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 16:59
Heureux celui qui demeure à l'abri du Très-Haut, qui repose à l'ombre du Tout-Puissant.
Introït
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Dieu a donné mission à ses anges de te garder en toutes voies.
Graduel
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De ses ailes le Seigneur te couvrira et sous ses plumes tu trouveras le  refuge ;
sa fidélité est un bouclier, une cuirasse.

Offertoire
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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 16:11

 

champaigne vanite
Vanité par Philippe de Champaigne (1602-1674)
  
  Hier le monde s'agitait dans ses plaisirs, les enfants de la promesse eux-mêmes se livraient à des joies innocentes; dès ce matin, la trompette sacrée dont parle le Prophète a retenti.  Elle annonce l'ouverture solennelle du jeûne quadragésimal, le temps des expiations, l'approche toujours plus imminente des grands anniversaires de notre salut. Levons-nous donc, chrétiens, et préparons-nous à combattre les combats du Seigneur. Mais, dans cette lutte de l'esprit contre la chair, il nous faut être armés, et voici que la sainte Eglise nous convoque dans ses temples, pour nous dresser aux exercices de la milice spirituelle.
Déjà saint Paul nous a fait connaître en détail toutes les parties de notre défense : « Que la vérité, nous a-t-il dit, soit votre ceinture, la justice votre cuirasse, la docilité à l'Evangile votre chaussure, la foi votre bouclier, l'espérance du salut le casque qui protégera votre tête (1) ».
Le Prince des Apôtres vient lui-même, qui nous dit : « Le Christ a souffert dans sa chair; armez-vous de cette pensée (2) ». Ces enseignements apostoliques, l'Eglise aujourd'hui nous les rappelle ; mais elle en ajoute un autre non moins éloquent, en nous forçant à remonter jusqu'au jour de la prévarication, qui a rendu nécessaires les combats auxquels nous allons nous livrer, les expiations par lesquelles il nous faut passer.
Deux sortes d'ennemis sont déchaînés contre nous : les passions dans notre cœur, les démons au dehors ; l'orgueil a fait tout ce désordre. L'homme a refusé d'obéir à Dieu ; toutefois, Dieu l'a épargné, mais à la dure condition de subir la mort. Il a dit : « Homme, tu n'es que poussière, et tu rentreras dans la poussière (3) ».
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 Oh ! pourquoi avons-nous oublié cet avertissement ? à lui seul il eût suffi pour nous prémunir contre nous-mêmes ; pénétrés de notre néant, nous n'eussions jamais osé enfreindre la loi de Dieu. Si maintenant nous voulons persévérer dans le bien, où la grâce du Seigneur nous a rétablis, humilions-nous ; acceptons la sentence , et ne considérons plus la vie que comme un chemin plus ou moins court qui aboutit au tombeau. A ce point de vue, tout se renouvelle, tout s'éclaire. L'immense bonté de Dieu qui a daigné attacher son amour à des êtres dévoués à la mort, nous apparaît plus admirable encore ; notre insolence et notre ingratitude envers celui que nous avons bravé , durant ces quelques instants de notre existence, nous semble de plus en plus digne de regrets, et la réparation qu'il nous est possible de faire, et que Dieu daigne accepter, plus légitime et plus salutaire.
Tel est le motif qui porta la sainte Eglise, lorsqu'elle jugea à propos, il y a plus de mille ans, d'anticiper de quatre jours le jeûne quadragésimal, à ouvrir cette sainte carrière en marquant avec la cendre le front coupable de ses enfants, et en redisant à chacun les terribles paroles du Seigneur qui nous dévouent à la mort. Mais l'usage de la cendre, comme symbole d'humiliation et de pénitence, est bien antérieur à cette institution, et nous le trouvons déjà pratiqué dans l'ancienne alliance.
 Job lui-même, au sein de la gentilité, couvrait de cendres sa chair frappée par la main de Dieu, et implorait ainsi miséricorde, il y a quatre mille ans (4).
Plus tard, le Roi-Prophète, dans l'ardente contrition de son cœur, mêlait la cendre au pain amer qu'il mangeait (5) ; les exemples analogues abondent dans les Livres historiques et dans les Prophètes de l'Ancien Testament. C'est que l'on sentait dès lors le rapport qui existe entre cette poussière d'un être matériel que la flamme a visité, et l'homme pécheur dont le corps doit être réduit en poussière sous le feu de la justice divine. Pour sauver du moins l'âme des traits brûlants de la vengeance céleste, le pécheur courait à la cendre, et reconnaissant sa triste fraternité avec elle, il se sentait plus à couvert de la colère de celui qui résiste aux superbes et veut bien pardonner aux humbles.
Dans l'origine, l'usage liturgique de la cendre, au Mercredi de la Quinquagésime, ne paraît pas avoir été appliqué à tous les fidèles, mais seulement à ceux qui avaient commis quelqu'un de ces crimes pour lesquels l'Eglise infligeait la pénitence publique. Avant la Messe de ce jour,les coupables se présentaient à l'église où tout le peuple était rassemblé. Les prêtres recevaient l'aveu de leurs péchés, puis ils les couvraient de cilices et répandaient la cendre sur leurs têtes.
Après cette cérémonie, le clergé et le peuple se prosternaient contre terre, et on récitait à haute voix les sept psaumes pénitentiaux. La procession avait lieu ensuite, à laquelle les pénitents marchaient nu-pieds. Au retour, ils étaient solennellement chassés de l'église par l'Evêque, qui leur disait : « Voici que nous vous chassons de l'enceinte de l'Eglise, à cause de vos péchés et de vos crimes, comme Adam, le premier homme, fut chassé du Paradis, à cause de sa transgression ». Le clergé chantait ensuite plusieurs Répons tirés de la Genèse, dans lesquels étaient rappelées les paroles du Seigneur condamnant l'homme aux sueurs et au travail, sur cette terre désormais maudite. On fermait ensuite les portes de l'église, et les pénitents n'en devaient plus franchir le seuil que pour venir recevoir solennellement l'absolution, le Jeudi- Saint.
Après le XI° siècle, la pénitence publique commença à tomber en désuétude ; mais l'usage d'imposer les cendres à tous les fidèles, en ce jour, devint de plus en plus général, et il a pris place parmi les cérémonies essentielles de la Liturgie romaine. Autrefois, on s'approchait nu- pieds pour recevoir cet avertissement solennel du néant de l'homme, et, encore au XII° siècle, le Pape lui-même, se rendant de l'Eglise de Sainte-Anastasie à celle de Sainte-Sabine où est la Station, faisait tout ce trajet sans chaussure, ainsi que les Cardinaux qui l'accompagnaient.
L'Eglise s'est relâchée de cette rigueur extérieure ; mais elle n'en compte pas moins sur les sentiments qu'un rite aussi imposant doit produire en nous.

Ainsi que nous venons de le dire, la Station, à Rome, est aujourd'hui à Sainte-Sabine, sur le Mont-Aventin.  C'est sous les auspices de cette sainte Martyre que s'ouvre la pénitence quadragésimale.

La fonction sacrée commence par la bénédiction des cendres que l'Eglise va imposer sur nos fronts. Ces cendres sont faites des rameaux qui ont été bénis l'année précédente, au Dimanche qui précède la Pâque. La bénédiction qu'elles reçoivent dans ce nouvel état a pour but de les rendre plus dignes du mystère de contrition et d'humilité qu'elles sont appelées à signifier.

Dom Guéranger

1. Eph. VI, 16. — 2. I Petr. IV, 1. - 3. Gen. III, 19. - 4. Job. XVI, 16. — 5. Psalm. CI, 10


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ORAISON
Regardez, Seigneur, d'un œil favorable ceux qui se prosternent devant votre Majesté ; afin que, rassasiés de votre don divin, ils se sentent toujours nourris par ce secours céleste. Par Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.

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Cardinal Dario Castrillon Hoyos ancien Président de la commission pontificale « Ecclesia Dei »

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Cardinal Antonio Canizares Président de la commission pontificale « Ecclesia Dei »

"Le missel romain promulgué par S. Pie V et réédité par le B. Jean XXIII doit être considéré comme l’expression extraordinaire de la même « lex orandi » de l’Eglise et être honoré en raison de son usage vénérable et antique."

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